mercredi 9 septembre 2009

Quelques aventures à notre arrivée

Après la sieste, nous avons préparé le repas dans la salle des Pianos en musique DJ pendant que la réunion PC (IBIPO) se déroulait (2h) au fond de la Guillo. Fin de réunion puis apéro et dîner pic et invités à l’arrière cour salle au poêle sur une table napée de blanc. Quand même un petit spleen de retour de voyage et refuge dans la musique DJ et la danse. Vers 5h, coucher en compagnie de sylvestre (cabane) puis réveil vers 8h dans une guillotine vide. Déjeuner puis départ pour la ferme du bonheur vers 16h essai de relecture notes dans la friche puis retour houilles vers 20h le dimanche 23 août.

Lecture au parc de André Malraux, Nanterre (dimanche 6 septembre)

Un débarquement solo à la ferme du Bonheur vers 16h, avec un trajet pour du beurre, de la ferme à la friche et inversement, une arrivée de Sylvestre en vélo de Montreuil à Nanterre (1h30).



Ensuite, nous avons fait un replis stratégique vers le parc André Malraux à Nanterre Préfecture



Où après avoir trouver un bonne endroit, j’ai lu en entier mes notes du voyage de Paris en Espagne en passant par l’Italie, ensuite, Sylvestre m’a expliqué la préparation d’une action textuelle en trois parties : en premier, le texte brut ; en deuxième la retranscription insertion des textes à Sylvestre dans mes textes en inversement et troisièmement, une œuvre se basant sur des personnages et sur des lieux que nous ne connaissons pas encore mais que nous pouvons imaginé… Enfin vers 19h30, Sylvestre est rentré à Montreuil en passant par la Défense et je suis rentré à la maison en RER en observant un immeuble en voilage un peu comme à Valencia et en regardant les environs.



Un samedi de fin de soirée en fausse idée (samedi 12 septembre)

Une arrivée à la place Léon Blum à 18h pour un final avenue Parmentier ; lieu de la nouvelle Générale : un coin géant, idéal pour un bal ou autre, malheureusement la soirée a été annulé… Donc j’ai bifurqué à Montreuil à 20h où il y avait Sylvestre et Antoine, il est parti quelques minutes après et nous sommes partis en direction de Belleville en métro pour moi et en vélo pour Sylvestre. Je suis arrivé une demi-heure avant la fin, j’y ai croisé Dada et Sarah et d’autres personnes du Vaisseau, une amie à Romu et une fille du Montmorency ; Sylvestre est arrivé quelques minutes et il a fait des allés et venus dans la rue Dénoyez. Avec Sarah, nous avons fêté nos retrouvailles. J’ai quitté Sarah et ai retrouvé Sylvestre un peu plus haut dans la rue avec des amis à lui. Ensuite, j’ai décidé de rentrer à la Guillo avec un manche de balais pour le manipuler, je suis arrivé vers 23h30 et j’ai regardé une vidéo. Vers 1h, Thibault est rentré dans l’atelier, il revenait de la Tunisie et est reparti pour de nouvelles aventures

Un dimanche tranquille (dimanche 13 septembre)

Réveil vers 8h30, j’ai regardé à nouveau une vidéo… Sylvestre est arrivée vers 11h, nous avons déjeuné puis nous nous sommes baladés de Montreuil à Fontenay sous bois en passant par la Croix de Chavaux, nous sommes arrivés chez Zonzon à 15h, où Antoine et Thibault étaient pour y faire de travaux, ensuite on a pris une verre apéro au jardin et vers 20h, Sylvestre et moi sommes rentrés vers Montreuil en traversant le parc de Beaumont et passant par le même chemin du retour que le 29 août. On a pris le métro à Croix de Chavaux, Sylvestre est sorti à Robespierre et se préparer pour partir à Lisbonne pour 2 semaines le lundi à 12h et arriver le mardi à 18h par le bus Eurolines, il y a séjourné chez un italien, la semaine d'après, il sera à Marseille pour un préavis de désordre urbain avec la compagnie Ornicar ; et moi je suis rentré à la maison pour continuer à bosser lundi.

Quelque semaines avant notre départ

Soirée au Cercle Pan (dimanche 5 juillet 2009)

Une arrivée au Cercle Pan à 15h, comme s’était prévu, en pleine rue du Faubourg du Temple au numéro 45, un cercle vide… de pan

Quelques temps après, Cyril a fait un passage dans ce lieu en attente de partance pour la Bretagne, ainsi que Angela avec une amie

Enfin, Ewemel Orbisoul (Émile et Élodie) et Keukeugen (Benjamin et Agnès) ont fait leur entrée en voiture

Déchargement du matériel puis première répétition au Cercle



Début concert à 19h en set de quelques minutes puis Sylvestre est arrivée sur le seuil de la porte du Cercle en déclamant le porte-voix en bouche.

Lecture d'habitués du Cercle "écrivain toi même"



Entre 19h30 et 23h30, les sets se sont déroulés :

1er set : Sylvestre-Emile




2e set Emile, Elodie et Benjamin



3e set : quatuor + Sylvestre



Une pause s'est imposé, Thibault, Antoine, Tho et Moïra ont partagé ce bon moment

4ème set : quatuor + Philippe Burin des Rosiers



5eme set : Agnès et Benjamin




A la fin de ce concert, nous avons chargé le matériel et je suis parti pour Houilles.

Après-midi à la Guillotine (mercredi 8 juillet)

Après un déjeuner de légumes à trois dans la Salle des Pianos (sylvestre, moi et un ami), Stefania est arrivée à 16h et nous avons commencé à discuter sur l'idée d'un porte à porte dans Montreuil au sujet de l'eau
Une question s'pose
Qu'est ce que l'eau ?
L'eau de pluie ? L'eau de chez lui ?

Où allons-nous ?
En porte à porte - de rue en rue
en tripoteur de Montreuil

d'étapes en étapes
Un mot – un gramme d'eau – une carte de visite

Un alanovitch en sitting
notes
Un sylvester au pédalage
notes - vocal
Une stefania en vélo
vocal

Un trio de choc
Ensuite, Stefania est partie et SylvAin a changé de place "le vaisseau" vers 17h pour un filmage de Sylvestre en chorégraphie avec porte voix comme accessoire

Concert Télamuré à la Dame de Canton (jeudi 9 juillet)

Départ de Nation au Parc de Bercy à pied



pour un session jonglage en passant par la rue de Picpus

Continuation vers la bibliothèque François Mitterrand et arrivée à cette noble Dame sur le quai du Port de la Gare

Vision des Télamuré du haut de la passerelle Simone de Beauvoir et diner au resto

Arrivée de Sylvestre puis accueil des spectateurs à l'entrée en déclamation improvisé (un commencement de danse, un mot de Francesco R, un tour de Sylvestre déclamant puis un SylvAin haut perché sur un banc entrain de déclamer admirablement)



Double concert italien/espagnol (en chant, foule, musique, applaudissements en rythme et hourras) de 21h30 à 23h30.



Retour à Houilles

Préparation voyage et promenade (samedi 11 juillet ; dimanche 12 juillet)

Préparation de travail en après midi pour un voyage ultra européen, soirée calme, coucher 2h nuit d’un voyage.
Réveil 8h, climat petit gris écriture parc Robespierre puis promenade de la rue Robespierre à la mairie puis à la place du général de gaulle ; retour par croix de chavaux et robespierre, retour Houilles

Samedi 18 juillet

Essai de déclamation chorégraphiée avec Stefania aux manettes.

Dimanche 19 juillet

Repas à six, puis grande promenade de la guillo en transport puis du pont de l’Alma jusqu’au parc Citroën à pied et une arrivée de Sylvestre à vélo pour une fête de rien du tout.
Transfert à Quai d’Orsay mais problème de transport donc de marche de Simplon à la Porte de la Chapelle et arrivé juste à la fin pour un concert de Fantazio et déclamation in extremis, et retour vers St Lazare puis Houilles.


Mercredi 22 juillet

Arrivée avec mes bagages vers 16h puis achat mangeaille pour préparation repas, dîner en compagnie du pic et d’invités dans la salle des maîtres avec comme occupation montage d’une caravane (passage de la rue Robespierre à la salle des maîtres caravane sur la tranche, puis assemblage, réveil 6h et départ vers la Gare de Bercy.

vendredi 4 septembre 2009

Voyage en Espagne

D'Arsita à Barcelona

A 13h15, nous avons quitté Arsita en bus avec l'adieu des amis et nous sommes arrivés à Pescara vers 15h30 puis nous avons continué vers Rome dans un autre bus à 16h et nous sommes arrivés à la station de bus Tiburtina. A Rome, nous avons pris un métro pour Termini (ville où les taxis sont de la mafia), enfin après quelques mètres à pied, nous sommes montrés dans le train pour aller vers Civitavecchia, nous y sommes arrivés à 21h et avons marché jusqu'au port, pris un bus pour aller jusqu'au ferry géant, contremarqué les billets et enfin, nous avons embarqué.

A l'entrée, nous avons pu admirer plusieurs escalators, qui nous amenaient à la réception et aux places assises dans une grande pièce comme une salle de cinéma, à l'avant de la salle, il y avait de quoi ranger les bagages et deux télévisions côte à côte (un peu comme notre pose à Avignon).

Une fois sortis de cette pièce, nous avons découvert ce ferry Grimaldi, haut de huit étages, nous avons grimpé les escaliers quatre à quatre et nous sommes arrivés sur le pont soleil, avons fait le tour du bateau en admirant la grande cheminée qui ressemblait au nez d'un sous marin.


Nous sommes arrivés à l'arrière où les portes verticales se fermaient ; une minute avant le départ, une chevauchée de colombes est passée devant nous, c'était magique, le bateau a quitté le port, comme c'était émouvant de quitter l'Italie et ses nombreux souvenirs.
Il n'y a plus d'exclusivité à aimer plusieurs à la fois.
Léger multiple à l'unisson qu'à un certain nombre nous réussisson.
Intensité partage fait que bien acquis est l'autre dans une liesse d'ensemble :
Sintonia entre lingua.
Nous voici dans le bateau pour Barcelona en passant par la Sardaigne, on ne sait pas si la croisière s'amusera « A night on a seat on a boat for Barcelona »

Nous sommes le 12 août : je me réveille à six heures et voici un joli lever de soleil

Du pont soleil à la Réception
Que de tensions / Attenzione Attenzione

De l'Italie à l'Espagne
Tout le monde à son pain de campagne et son pagne

Des Bals de Montreuil à Arsita
Voici les chemins que l'on a parcourus par monts et par vaux


Dans le ferry, au troisième étage, nous avons pris un café à 7h et à 10h puis nous avons déjeuné au self service plus à 12h (on vous amène votre repas), dehors il y a toujours de l'eau, de l'eau, de l'eau (on pourrait y remplir une bouteille dixit Stefania).


Nous sommes arrivés à Barcelona vers 18h ; après des heures d'errance presque d'ennui, nous avons quitté le ferry après quelques minutes d'attente. Nous avons pris un bus pour sortir du port et nous nous sommes dirigés à pied vers l'Estacio de Franca ; après quelques hésitations, nous avons pris un train vers la Plaza de Cataluña et le miracle s'est produit : nous avons loué une voiture Toyota Yaris chez Rent pour neuf jours.



Nous nous sommes promenés dans les environs :
Rencontre avec un nino qui ne cessait de regarder
Le ton de ma voix, m'a dit sa mère.
Voeux vers lui "del viaje de la vidabuena fortuna".
Nous avons découvert un pont ; pendant que Sylvestre a fait un tour de terrain, j'ai vu la fermeture du pont : une porte horizontale s'est ouverte et le pont entier a glissé et s'est placé loin de la terre ferme.
Sur le récent projet "La Rambla del mar", système de passerelle et de retrait de pont sur vérin.



Une grosse opération de nouvelle centralité reste déplorable avec aménagement
Extérieur public anecdotiquement en levées de terre esthétiques, oblique de point de vue où personne ne va.
En revanche de l'autre côté, Barceloneta reste un tissu habité plaisant et proportionné à échelle humaine.
Nous avons cherché un coin pour dormir et l'endroit original a été la plage, où nous avons passé une courte nuit et pris un café croissant avant de reprendre la route.
Sensible aux sons de toute nature, Sylvain reste sensible aux sons d'oiseaux.

Ainsi, certains chants d'oiseaux exotiques se réitèrent le matin tôt et touchent le fond de son âme de lyre.
Tout comme le retour synchronique à Barcelone de la perruche verte et son caquètement caractéristique au dessus de nos têtes voyageuses, juste au moment de rendre le carrosse qui nous a transportés.
Cet autre entitaire, connecté aux animaux oiseaux qui réveillent automatiquement l'âma en veille et réactive l'aménité animale naturelle.
L'espèce d'entre deux sensibilités fait découvrir un nouveau chant d'inspiration d'humanité amendé: apprendre de l'autre ses différences amendables par la conscientisation d'interactives symbiotiques.
Doué d'une sensibilité inouïe, il est en résonance avec le monde et sa matière musicale.
L'infini Être introspecté rentre en harmonie avec le monde qui lui répond en bonne fortune.

L'éclaircie illumine la page blanche
Signe sensible révélant Agapê semblant
Incarner un verbe...
Sylvain est un drôle de personnage, s'arrêtant sur tous les détails l'environnant, en particulier les petits êtres animés à sa portée.

Douée d'une sensibilité inouïe, il est en résonance avec le monde et sa matière musicale.
L'infini Etre introspecté rentre en harmonie avec le monde qui lui répond en bonne fortune

L'éclaircie illumine la page blanche
Signe sensible révélant Agapê semblant
Incarner un verbe...
Le 14 août, nous avons pris la route vers Lérida en effectuant quelques pauses. Nous nous sommes arrêtés à Monzón pour acheter quelques vivres et se sustenter puis nous avons continué la route vers Huesca (paysage montagneux d’une beauté vertigineuse), nous avons continué notre périple jusqu’à un lac (petite baignade) nous sommes arrivés à Jaca et reposés, puis nous avons continué vers les Pyrénées Orientales et sommes arrivés en fin d’après-midi à Irun (frontière Spain-France) en passant par Pamplona chez Dada et Sara. Avons passé notre première nuit de folie (music Hard Rock et drink) jusqu’à 3h du matin.
Irun "a paese"
Irun Ella que mejor
La voix se trouve dans son coeur
Chantant timbrement l’Aurore
La rime est partie terrorisée.
"Euskara, ya que busca"
Entre lengüe
Détourner les images
Ça change les messages
Trompe l'oeil au regard tronqué d'Amélie Pouliche.
A la casa d'Irun
Du béton qui s'affronte
Aux gens apparemment "de binotz" (dixit el cantuor)
Etzetera cante il cantuor
De "cabron"
"Piensamienta la strachera"
Puerta de la condicion del mundo
De las estrellas consuelas
Demaciado una seguida conocida.
"Erabaki deza kegli
Faxismo
Eta Seximoari Ez!
Euskal herria antifaxista
Moskako antifaxistak 09"
En ce 15 août (fête de l’Assomption en France), je me suis levé vers 10h30 dans un vrai lit.

Irun (Iron) Métal chaud ou froid

Entre L’Espagne et la France
Frontière de couleurs éphémères
Entuilées et emmurées

Irons-nous à Irun pour entendre Luis Mariano
Est-ce une ironie ?
Oui, le véritable enjeu d’Irun
Est d’écouter de la musique de dingue
Tout en dansant et en buvant
Est-ce ça le moment du partage ?


A 14h, il y a eu un repas de quartier sans ticket pour moi (300 personnes) dans un couloir de rue et après manger, le collectif de musiciens à fait la tournée des bars en music et en chanson. Vers 18 h, j’ai fait une session jonglage dans un parc puis j’ai apprécié une batucada. Le soir, nous avons effectué notre deuxième concert sur la place jusqu’à 3h.


Le 16 août, je me suis levé à 7h30 et j’ai continué la fête avec les amis Basque, en faisant une séance d’aérobic et danse au son de différentes music (solo, duo, groupe),
L’inspiration collective peut agir concrètement sur l’individu, régénérant à travers chant et dans l’aménité humaine.
Il est étonnant d’être porté par l’ensemble réuni à l’unisson et de réinspirer soi comme toi simultanément avec les choses de l’âme une indivisible ressenti synchrone.
Il est curieux quand tout ce partage en liesse s’est estompé, de constater une sorte de psychose paranoïaque dans le tranquille quotidien de cette ville de prime abord avenant, mais dont une défiance plane dans l’air ambiante due sans doute à la délation ou la surveillance constante.
Nous avons vu apparaître des soldats rouges en tenue de combat (ils ont fait le tour de la place en fourgon, ont déchiré les affiches puis après quelques minutes, sont partis à 11h30. Nous sommes partis à 4 dans la voiture de Dada dans la direction d’Hendaye et nous avons été contrôlés à la frontière ; une fois arrivés, nous avons pris notre petit déjeuner puis avons fait une baignade entre hommes dans l'Atlantique
Fishing (bis) the stars
Pisser, pêcher les étoiles
Euskadie dia por Dias
Recréons des sortes de religions (El Cuyon)
Rêve créé athée partagé d'oiseaux

Parallejos Paese somos nosotros
"Por que yo", màs lejos tu eyo
No duerma la unità, Pelote basque (vasco)
Place champ de foire avec jeu de pelote basque mettant en enchère les bêtes sur pied.

Retrouver les traces du sites et de son histoire évolutives sur place en direct d’un ressenti fait partie des premières impressions situationiste : hôtel Dieu axé sur le fronton, l’hôpital postérieur en retrait et fermant la place alors que ce fut une ouverture pour le bétail arrivant des montagnes pour étancher leur soif dans les abreuvoirs du bourt de la place.
Trajet de l’eau : marécage du parc – puits (proche de la fontaine) - soupirail dans l’axe des rues descendantes – abreuvoirs.

De Osteria ou c'est rira...
A peine écrit, proféré sur le champ

Le chant des gens d'ici et de là bas;
Enchevillé à Euskadi.
Avant de reprendre la voiture pour Irun, Sylvestre s’est baigné dans une fontaine (c’était mon idée, pensée : Arsita), avec le regard ahuri des passants.

Soirée tranquille au théâtre, puis show et continuation devant le bar ambulant enchanté et en buvant des coups, il y a même eu un lâché de baguettes. Je suis rentrée à 1h30.
Après une soirée finale sur la place en liesse, le direct votif produit des fragments de textes improvisés sur des musiques partagées à plusieurs dans le chant, seul vecteur commun.
Le 17 août, je me suis levé à 9h. Ça été une journée tranquille, de promenade et de préparation pour la suite sur Internet
Euskadi (d'hier à aujourd'hui)
A chaque architecture différentes modénatures
D'une europée qui s'est inventée ici
Europe américanisé par l'Espagne
Là-bas l'Espagne européanisant l'Amérique
Hybride Euskadi inventant l'Europée après, avant l'heure
Hospitalité "euskade" qui s' moque d'la charité chrétienne
Gens au tempérament entier d'un caractère de personne
Âge fusionnant trait pour trait l'Occident inefficient
Entre Bavière, Suisse, Italie et France du sud
Ouest reste récalcitrant sans suffisance exagérée
Et aimant les frontières depuis hier jusqu'à au moins
Autonome demain avec langues intégrées de pierre
Autrement "euskadi" qui a dit qu’eux sont espagnols?
No màs que reempezar el Ayumiento
Al ayumiento (bis)
Los màs (ter)
La masse de l'air (bis)
Acquae sourcières
A quoi sert
Ça s'passe entre tous les Etres
Entre les montagnes et l' Ayumiento
Irun ironie de l'enropie de l'Europe
On trompe qui en Europe?
Euskadi!
Là uù l'aval se déverse el canttue
Del corazo encor court corre entre cuerpe euskadie.

Nous sommes partis d’Irun le 18 août dans la matinée pour Burgos en titine.

Nous avons traversé les villes de Pamplona, Logroño et sommes arrivés à Burgos vers 20h
A partir de 23h les rues se vident alors qu’elles étaient remplies à 20h.
Elle respire une ambiance de bourgeoisie jamais obtenue par sa ruralité mais consolé, concédé à sa gentrification urbaine de ville moyenne.
Nous sommes allés acheter les billets Barcelone Paris prévu pour le 21 août, ensuite, nous avons déjeuné dans les hauteurs et digéré en faisant une petite promenade.
Entouré de campagnes agricoles cultivées aux pentes descendantes, Burgos est un gros bourg au fleuve de berges arborisées et bien vertes.
Elle reste pour l’Espagne bien abreuvée en période sèche et d’un agrément apprécié des gérontes.
Elle fait en effet ville du nord avec son tourisme urbain autour des monuments religieux omniprésents de style gothique flamboyant, baroque ou classique pour les édicules.
Elle est surplombée d’un castello restauré, plus intéressant pour son parc forestier, faisant toile de fond à la cathédrale, et son belvédère la surplombant et présentant son Hinterland de champ à blé environnant
Nous avons trouvé un bon coin pour dormir de 0h à 7h le long de l’Arlanzón sur les berges herbées. Nous avons pris le départ pour Madrid
(Fuego Tierra)
vers 8h. Nous nous sommes arrêtés à Lerma pour entamer un encas de poire, pain et fromage.


Pendant le trajet, nous avons observé un paysage plat avec moins de monts et travaux donc plus de tranquillité, ensuite puisque, nous n'avons pas trouvé de lac, nous avons finalement choisi une piscine avec un prix raisonnable : 3 €, nous y sommes restés jusqu’à 18h.



Finalement, nous sommes arrivés à Madrid (cosmoville) vers 21h
Notre arrivée de fin de journée sur la province de Madrid nous a fait traverser un paysage semi désertique du nord castillan érodé aux blocs de pierre rappelant ceux de l’Arizona.

La ceinture périphérique est vaste et à l’échelle des nœuds autoroutiers dont les bouches se superposent sur deux ou trois anneaux radio-concentriques autour de la ville.

La ville traversée par des artères rapides en tunnels ou auto ponts laisse des vacances d’interconnexions de voies à la proche périphérie de son hypercentre, marqué par l’axe vertébré de sa gran via.
En ces lieux, nous avons fait une promenade en voiture puis à pied jusqu’à 22h30
« fui sobre agua aedificada. Mis muros de fuegson ». Sobre un muro de la calle de Cuchilleros.

Se laissant éconduire à pied par la déclivité topographique, la découverte de quartiers de « La Latina » nous fait découvrir au bout de ses rues le pôle centripète de placettes récemment aménagé en leur centre de jeux d’enfants.

Il est tangible de remarquer l’afflux et l’attraction naturelle des passants autour d’un espace public réel, créant une sédentarisation temporaire et inconsciente à l’espace.
Remontant la pente, faute d’étancher sa soif, il appert que la ville manque d’eau et de fontaines l’éconduisant.
Nous avons dîné, j’ai fait une sieste, puis à 0h15, nous avons pris la route pour Tolède (ville rempart) de la Manche :
Découverte de figure sculpturale de Cervantès après porche.


(Don quichotte–Sancho : figurines).
Refigure de Quijote et Sancho : comment les deux figures se sont précisées dans leurs représentations ? Deux plumes rappellent Quijote et Sancho dans une venelle déserte.

De nuit, elle surgit de son promontoire altier, désorientant son jour de découverte ; elle apparaît majestueusement surplombant son large fleuve, la détournant de la moitié de son périmètre.
Elle semble inaccessible tant sa hauteur grimpe sur les cimes face à ses monts de Tolède.
Les pentes sont raides et passent par des portes distinctes aux points cardinaux.
Une fois en ses murs, plus de panoramas, que murs droits et impénétrables, puis au détour d’un croisement de rue une percée visuelle fait découvrir les alentours de collines au loin dans l’axe.
Tout est (en dévers, rien de plat, même pas ses places, présentant dans son œil intérieur urbain de cité gardé les dispositifs monuments, symboliques et institutionnels à la ciudad.
On peut retrouver l’influence arabe dans les ouvertures andalouses et un tissu de labyrinthe de venelles en medina.
Le rapport au sol est primordial, en jure l’invention architectural d’un passage faille telluri-béton dans le sol abrupt d’un côté de la citadelle.
Nous avons dormi dans la voiture à l'intérieur d'un parking sous un arbre vers 1h30.

En ce 20 août, veille du départ vers Paris, je me suis levé vers 7h30, puis j’ai fait une promenade dans Tolède de 3h30 :
Méthode d’investigation des villes à pied avec carnet à la main. Après une première marche propédeutique, arrêt par point de départ.
sa ville fortifiée, ses arcs, son café (Il tragetto).
Rue Medina bifurcation montée ou descente (aguas de Toledo).
Descente sur un flanc sud de la ville : moins de touristes.
Clocher d’église : la mère à sa fille (« zona azul »).
Fontaine avec eau sur placette : présence granit bleu gris et d’habitants rassemblés (Plazza de San Justo).
Arrivée sur cathédrale (Calle del locum).
Plazza Mayor (Teatroderojas).
Lieu de passage touristique.
Cathédrale dans l’ouverture d’une percée : fronton aigle bicéphale.
Panorama passage dans rues de la place cathédrale.
Rue arrière chevets : montée et descente puis remontée, suite logique parcours).

Pensées perdues.
Découverte panorama nord ouest aux monts lointains de Toledo.
Recircuit touristique.
Clocher monastero en rue.
Deux aigles frontispices sur deux façades scrutant deux directions différentes (bifurcation : choix rue rétrécie).
Fers sur iglesia.
Belvédère « Bajada de San Juan de los reyes »

Détails appareillage pierre : modénature andalouse.
Topographie rue grimpante : vue axiale extérieure de la ville
Détails appareillage pierre : modénature andalouse.
Topographie rue grimpante : vue axiale extérieure de la ville. Présence aigle bicéphale.
« Soupirail défait : boca de riego ».
Bibliothèque régionale jouxtant palais Alcazar «armoirie de la ville ».

(Préalable : ne jamais revenir sur ses pas)
Nous nous sommes sustentés devant le fleuve.
Panorama sud est : reconnaissance territoire. Kiosque PVC/métal.
Nous avons vu une roue à aube « moulin à vent
Architecture moulin au loin ressemblant à clocher de la Mancha.
Puis un aqueduc, il y avait aussi des animaux de courtoisie : mouches, fourmis et lapin.
Observation infinités détails incongrus.
Comment se réorienter.
Comment recoller élément puzzle abstract mémoire à différentes échelles territoires : changements d’échelles.
Pour une école environnementale, urbaine et territoriale.

Suivant de Tolède à Madrilejos, la route du Quijote,
nous ont apparu des moulins à vent sur la crête des monts
A midi, nous avons pris la route de Valencia, avons parcouru les villes de Madridegos, la route était sans fin, il y avait même des tourbillons.
Près d'un castello puis au sommet de hauteurs surplombant la petite ville d'Herencia,où nous avons fait étape pour une collation suivi d'une sieste dans un agréable parc municipal aux tourterelles (dont le chant me rappellait la volière de ma mère),
Avons déjeuné à Herencia (Ciudad Real) dans un parc. Il y avait un petit oiseau en errance, un peu plus loin, nous avons vu un dizaine de moulins sur des monts, nous avons décidé d'y grimper jusqu'à un moulin (une bonne allusion à des géants de Cervantès), ensuite nous avons été obligé de redescendre : pente vertigineuse.


Étant dans un paysage aride aux oliviers et vignes sur les coteaux ocres, l'étendue d'un demi désert sous la chaleur se prêteaux mirages dont a été vraisemblablement le sujet de Quixot traversant pendant des journées entières cette terre entre songe et soleil.

Excité par les traces existantes d'un cadre naturel du mythe, le suivi en pourrait être "el volver de los dos Hidalguos Quichà": le retour des deux chevaliers Quichà.
N'étant qu'à moins d'une centaine de Kms au sud est de Toledo, je peux fort m'imaginer l'ingénueux Cervantès en quête d'inspiration dans ces plaines à moitié désertiques jusqu'à la rencontre de deux quidams autochtones du coin l'ayant conduit sur ces chemins de desserte de terre...
La Mancha, terre de granit bleu gris et de vent sans sel ; au pied de los Molinos de Herencia sensation des géants dans le vent chantant contre les ailes devenues métalliques du moulin.
Du haut de la crête près de leur giron, l'étendue majestueuse d'un 50 kms de rayon d'oiseau vous procure cette sensation aérienne de voler tel un géant ailé à 7 lieues à la ronde.
Pays éole inspiré et expirant une inspiration de solitude quiete comme ces moulins vivants "encalados", blancs de chaux.
Or il m'en chaut de relire les 2Manches au Miguel, comme je l'ai signalé à la taverne d'en bas.
Hasta luego, Pays!

Note au Benet :
"tu restes là une journée à tout vent venant et tu deviens ta propre girouette, amigo Alano."
Notre symbolique port en terre de chute en la Mancha, e qui viva, le tout vent va!
SylvAin et ses habitudes de nourriture (pique-nique)
Prenez une baguette
Coupez-là en deux
Placez y du salami, ou de la saucisse ou du fromage ou des figues
Agrémentez d’eau ou de bière

Pour un dessert réussi
Finissez par un pomme ou une poire ou un autre fruit
Enfin terminez ce délicieux pique-nique par un café, un cappuccino ou un chocolat

SylvAin vous a présenté le fameux pique-nique en Europe

SylvAin et l’eau (bain, douche)

Souvent troublante, soit trop froide
Soit bien, mais des éléments extérieurs ne sont pas satisfaisants

Souvent le soleil est de la partie et ça chauffe

A la piscine en passant par la mer
La fin est souvent pénible

Les Malheurs de SylvAin

Là où il passe
Il y a soit un feu, un bateau brûlé, de la fumée
Bref, rien d’inquiétant






En continuant vers Tomelosso (Toboso) dans la Rosstitine, nous avons découvert d'autres moulins à vent (proches ou éloignés). Avant de quitter la Mancha, nous avons repris un bain dans une eau convenable.

Arrivée sur avenue fréquentée en artère pénétrante la ville comme son fleuve disparue faisant la césure entre centre historique et extension.
Son Hinterland de vallée fluviale et fleurie fertilise toute une région richement agreste.
De nuit par auto elle vous perd inexorablement et paradoxalement par une trame régulière et irrégulière de ses éléments physiques (fleuve césure, port excentrique, centre reclus, artères tangentielles).

Nous sommes arrivés à Valencia à 22h et après une errance en voiture et piétonnière, avec une place en glisse et quelques mètres plus loin, avons admiré un bâtiment en pêche.


Nous avons passé une nuit en plusieurs étapes : dans un parking gardé par deux mastoques (chaleur étouffante) pendant 1/4h puis dans une allée arborisée d'arbres géants, nous avons commencé à dormir dans la voiture colmatée (chaleur inhumaine) et sur l'herbe (réveillé à 4h par le jet d'eau), enfin, nous nous sommes endormi dans la voiture.

Le jour du départ pour Paris de Barcelona, je me suis réveillé à huit heures, j'ai marché pendant 1h en observant et/ou en jouant avec un palmier, un œuf dans un rond/cercle et enfin, j'ai grimpé dans l'arbre creux devant la voiture et j'y suis descendu au réveil de Sylvestre ; nous sommes allés prendre un café-croissant et j'ai acheté un sandwich pour le déjeuner, nous avons décidé de faire un tour à pied, puis en voiture.
Cartographie active :
nouveaux vides d'attraction de constellations urbaines
désorientation permanente sans repère des éléments physiques naturels: rio, mar.
artefact de bioparc (coulée verte)
Valencia pourrait être une Mégapole, une Gigapole, je dirai même plus une Terapole.
Restant insaisissable à l'intellect est bel exemple de nouvelle ville au système régénéré, à l'organisme muté à la symbiose (high tech, bio parc) surprise et surprenante.
Exemple du jardin del Tuja à l'aménagement paysager intégré aux architectures structurelles.
Avec la titine, nous avons vu de grands espaces et avons tenté une sortie vers Barcelona qui n'a pas été simple vers 13h. Nous avons parcouru différentes routes jusqu'à la plage à Almarda, avons déjeuné ; Sylvestre a pris une douche et un bain, moi une douche ; à 16h, nous avons continué la nationale jusqu'à la dernière station service avant Barcelona, nous avons fait un bon clean dans la voiture et rangé les sacs.
Dellos, Dos los vuelvendo quiem apparencerà
Como que todo poderia reempezar?
Todavià todas la vida!
De savoir revenir reconquis
De plusieurs vies qui sont
acquises et partagées,
Grandis et divulguées
Revenues à qui pourra revenir.
Bienvenu à qui réapparaîtra
L'adventura de l'advenir.
La vertu du voyage rapporte
Le réel au mythe importé.
( on s'exporte, on s'exporte) ;
Noblesse obligée d'âme
Promesse auprès d'une dame
Revient en amoureux dessein
De vie renouée non plus scindée.
L'entre deux est espace univers
Qui épaissit la traversée du temps verni,
En rentrant d'un humain gain ;
Recevoir les choses récoltées
Comme l'ivraie d'un grain
D'existence vraiment colorée.
A ceux revenant qui paraîtraient...
Nous sommes arrivés à l'Estacio Sant, puis à la gare routière de Barcelona, je suis sorti avec les bagages.



Sylvestre a déposé la Titine à Rent et est allé acheter des vivres (1h), nous avons mangé, puis vers 20h, Sylvestre est allé pour enregistrer les billets, une demi-heure plus tard, on a su que le bus partait de la gare routière Nord, nous avons pris le métro jusqu'à l'Estacio Nord, nous avons vu où était la ligne et où le car devait arriver, Sylvestre est allé enregistrer les billets à nouveau et à 21h30, nous sommes partis de la gare routière et avons vu le fouillis de cette gare routière ; cinq bus partaient en même temps.
De gare routière grégaire, un melting-pot condense
Départs et arrivées sans meeting plot en danse,
Sans savoir rencontrer au lieu d'un terminal
Au transit de cent pas terminant l'ermitage.
Nous nous sommes arrêtés à 23h dans la première station service : l'aera de la Selva


De estacio servicio le temps d'un plein remplit
L'espace entre deux pas d'inattendues séquences
A connecter entre elles ainsi autant quand c'est
Aussi inopiné que devant un tremplin.
Un petit problème s'est constitué : le car n'était pas un EUROLINES, c'est INJUSTE, dans cette même aera, il y avait quatre bus. Sylvestre a failli partir avec un chalonnais dans sa voiture. A 5h, nous sommes arrivés à la gare routière de Lyon et quelques passagers y sont descendus.
De situations nées d'arrêt spontanément
Saisis dans l'instant lié en plaçant aimantés
Les trajectoires trajets se croisant recroisés
D'occurrence et hasards coïncident en soirée,
Sur l'aire reposé d'un rassemblement fortuit
Dans l'air échangeur d'heures voyagent seules les Fortunes.
A 7h30, le car a crevé ses 2 pneus arrières, nous avons été invités à sortir et se mettre sur le bas-côté avec les limaces et les araignées ; à 9h09, nous avons embarqué dans un autre car, qui nous a conduit dans une aire de repos sans station service, le car a été réparé, on est remonté et on s'est arrêté un quart d'heure plus tard dans une station service, où nous avons pris un petit déjeuner français : café, cappuccino et gâteau rond.

Nous avons rembarqué dans le car à 9h56 en direction de Paris ; j'ai observé des vaches, des moutons, des éoliennes et j'ai admiré ce gros nuage qui avançait lentement. On est passé dans un péage de proximité à 12h07 avec de nombreuses voitures et des camions, nous étions à 60 km de Paris.
Retour du périple Voyage de Don quixchà
Nous sommes arrivés dans la banlieue de Paris, puis à Bagnolet et enfin la gare routière d'Eurolines vers 13h. Fin de ce voyage...

Nous avons quitté la gare routière et avons pris le chemin de Montreuil, nous sommes arrivés à la Guillotine "RÉAPPROPRIATION" et avons déposé les bagages, nous avons pris une assiette de poulet frites au foyer, puis, nous avons pris un café avec des amis et je me suis reposé à la Guillotine et Sylvestre au parc.

BILAN ESPAGNE : ENTRECROISEMENT DE CITES (DE PÔLE A TERAPOLE) PLUS OU MOINS DENSE – IRONISE-T-ON DANS CETTE BELLE VILLE D'IRUN (EUSKA) ?

Voyage en Italie

De Avignon à Bologna

Sortie définitive du camping vers 13h et après-midi repos dans un parc des Corps.



Dîner et attente du bus pour l'Italie (20h30)
Arrivée à Marseille à 23h30 et attente du bus qui venait d'Espagne (1h30) passage par Torino, Milano, Parma et arrivée à Bologna vers 11h.
Défilement de pensées souvenirs sédimentés
En suite d'horizons animés et aimantés
Au métal de la route se forge l'entièreté
Faire du voyage flash d'idées triées l'été.
Après avoir déposé nos bagages en consigne, nous avons cherché le moyen de découvrir Bologna et de le redécouvrir pour Sylvestre.
Bologna en dérive
Suivant l’appel intuitif de ses rues anciennes
S’éconduire (…)
Découverte di Bologna par Sylvain
Nous avons fait une « promenade libre » avec prise de note de Sylvestre. Ce qui s'est traduit par un trajet bolognais de 2h du centre de la ville, en passant par il Parco della Montagnola puis du centre universitaire jusqu’al Giardino Regina Margherita.

Viale Massimiliano Bruno : A la sortie de la gare, parc en hauteur déconnecté du carrefour, un peu à l’abandon, un peu oublié ; fontaine d’eau dormante avec feuilles mortes et 3 tortues sculptures en son centre.
Le long d’une rue en bordure du parc pour arriver sur une place de marché
Changement de direction à gauche le long d’une via sous les arcades jusqu’à une des portes en ruine ; tour complet de la porte au milieu de carrefour puis prise de direction :

« Qu’est-ce qui t’a fait prendre ce chemin ?
pris le passage d’l’côté de l’arche, y’a d’intéressant d’l’autre côté. »
C’est le coin des habitations
Entrée dans l’hyper centre historique, côté université :
« on dirait une école »
Arrêt sur fresque : « on dirait l’ Espagne », en considérant l’architecture de brique et un campanile à section carré rappelant celle d’une autre ville d’université, Salamanca.
A nouveau changement de direction, à gauche, longeant une petite place parking, encore à gauche une autre oblique de circulation, borfé d’une venelle déserte.
Nouveau corridor de circulation aux arcades.
Prise de direction vers la Piazza central.
Découverte d’une cour cloître au trompe l’œil à la Danaïade Pan.



Série de 3 cours intérieures jusqu’à une artère radiale.


La récompense a été une glace "une gelata" maison et une petite course pour avoir le train. Enfin, nous étions dedans mais pas en bonne classe, deux arrêts plus tard, nous avons déménagé pour des places assises de 2nd classe.

De Bologna à Venezia

Arrivés à Venezia Mestre, aucune possibilité de continuer jusqu'à Venezia St Lucia à cause d'un incendie (Fire). En prenant notre courage à deux mains, nous avons quitté le train, sommes rendus vers la gare routière. Quelques minutes après, le bus nous a conduit à Venezia St Lucia. Une fois arrivés, nous nous sommes dirigés à la gare, il n'y avait personne. Après un coup de fil, nous avons connu l'adresse du restaurant végétarien, qui était près du Rialto. Avec un jeu de piste à plusieurs inconnues, le parcours n'a pas été simple, à savoir qu'elle était le chemin pour aller au Rialto, après quelques questions à des restaurateurs (quatre), nous avons trouvé enfin le lieu de rendez-vous et nous avons dégusté de délicieuses lasagnes.
La Métaphore du temps dans un tour
De potier peut être un espace détouré
Axiome du réel fabriqué
Théorème de temps détourné
L'allégorie est une barrique et
D'espace au temps s'est retourné.
Ensuite vers minuit avec Alessandro et Diana, nous avons pris place dans leur maison et après une discussion très intéressante à propos de Sylvestre, nous nous sommes endormi dans un lit canapé (2h à midi).
"sprend the wor(l)d " inspirat alessandro diana
Divulguer les choses du monde
Démontrer en poésie d’une ronde
Théorème d’un je t’aime
Promenade matinale du centre Venise (Sestiere Cannaregio) à la Fondamenta degli Ormessini sous une chaleur implacable avec ou sans vent.
Venecittà de retour reste indolente
Sous la chaleur condensée sans douleur
Coupée du continent et insolente
Elle laisse couler les heures, douces.

Le soleil l’évapore de sa peau aquatique
Ses murs se desquament sur l’eau Léviathan antique
Ses pieux poussées s’affaissent sur les fesses de déesse
Le sol se désagrège en un cul qui se dresse.

Venise sous presse reste avec soleil pressoir
Vers 18h, nous avons quitté la maison et nous avons pris le métro fluvial pour aller à la station des bus, avons décidé d'en prendre un vers Venezia Mestre. A la station, nous avons pris une voiture (5 personnes) en direction du Friuly Venezia Gulia et nous sommes arrêtés dans une forêt privée, où il y avait une trentaine de personnes inclus Alice (Juillet 2006); Comme décor, il y avait des prés et un lac lointain, comme divertissement il y a eu de la music rock, de la danse, de la boustifaille, c'était à la fois un rêve et une réalité, cela s'est terminé à 5 heures du matin, une install de tente, une sieste et quelques heures après, une mission recherche de bain pour moi et Sylvestre, on a échoué. Quelques instants plus tard, un chemin tortueux et une arrivée grandiose sur un paysage magnifique ; l'eau était bonne mais il y avait un courant très rapide et des cailloux gênants. Vers 14h, nous avons mangé de la polenta en carré et du riz tomate.

Enfin vers 16h, nous avons quitté ce lieu magique à quatre et revenu à Venise, j'ai fait une promenade jusqu'au squat du bal 2006, au retour je suis passé par un pont guerre et j'ai reconnu la porte du logis où Romuald, Sylvestre et moi étions installés. Que de souvenirs inoubliables!

Une fête (week-end 1er – 2 août)
où : vers Treviso
Avec qui : une trentaine de personnes
Vraiment où : dans une forêt privée
Occupations : bavardage – danse – mangeaille – jonglage la nuit – bain in fiume le matin – mangeaille
Observation : entre rêve et réalité, génial, douloureux (fiume), agréable

2 août (anecdotes)
10h : un tronc barre la route
11h : moi et sylvestre cherchent le fiume et tombent sur un marais
12h : le fiume est devant nous – l'eau est délicieuse – le problème est la marche dans l'eau (aller-retour) douloureux
Retour 1 : en voiture à quatre
vers 15h Sylvestre s'en est allé au bain alors que l'on part pour Venise
Retour 2 : Sylvestre train vers 22h


Avant l'arrivée de Sylvestre, Alessandro, Diana et moi avons passé une soirée dans une pizzeria, puis dans un bar.
Post situ à Venise
Venise un lundi matin face à l’activité journalière de la lagune, tout se passe sur l’eau : transit, transport, convoyage.



Spectateur de l’action quotidienne.
Se confondre aux éléments environnants et observer dans la sensation intérieure urbaine.
Sentir le moindre détail survenir, attendre en expectative attentive au mouvement infinitésimal ;
Voir survenir l’évènement que personne ne remarque.



Départ pour une longue promenade vers 11h du Centre Shop à l'Arsenale en passant par le squat 2006


En longeant la Fondamenta Nuova et l'hôpital, nous avons continué vers l'Arsenale, avons longé la via Giuseppe Garibaldi jusqu'à l'Isola di San Pietro, où nous nous sommes reposés, ensuite, nous avons marché jusqu'à la fameuse biennale (fermé le lundi).

Pour le retour, nous avons parcouru le tracé des grands bateaux, de la Rive des Sept Martirs à la Rive des Schiavoni, puis nous avons grimpé le pont des Académiciens et nous nous sommes reposés al Campo San Barnaba, enfin, nous sommes allés au marché al Campazzo dei Tre Ponti et sommes rentrés à la maison sous la pluie.

En ce 4 août, nous sommes allés nous baigner au Lido, partis de la Biennale en bateau, nous sommes restés en ce lieu durant 2h (bain + promenade),



Au retour, je suis arrivé à l'isola San Elena et j'ai marché jusqu'au Rialto en déambulant avec ma balle de contact, je suis arrivé à la maison vers 20h30.

Des détours et du jeu
Promenade en nuit avec des glaces pyjama et music à la Piazza San Marco
Revoir Venise et se dire que c'est un grand parc d'attraction
Être à Venise pour la quatrième fois et se dire que l'on est en villégiature


Le 5 août, j'ai marché de la Fondamenta Nuove à l'Hôpital puis à Celestia et suis arrivé vers le Canale delle Galeazze par une passerelle, j'ai visité une partie de l'exposition Corderie Arsenal


Je suis retourné vers Ca d'Oro par la même passerelle.

En soirée, SylvAin à la Piazza San Marco devant un bar a fait son show d'improvisation de 22h à 23h avec le public, qui circulait et les pierres, qui ne faisaient rien...

Le jeudi 6 août, réveil vers 10h, nous sommes allés à Murano et ensuite avons pêché des poissons au marché vers Rialto et nous avons dégusté un repas de pacha à la Sylvestre à quatre, puis je suis parti vers l'Isola San Elena et j'ai fait un grand show de jonglage avec ou sans appareil photo sur un stade de foot pendant trois heures.



Ensuite, je suis retourné dans le monde normal et vers le Ca d'Oro. Vers 20h, nous avons continué le repas de pacha et nous nous sommes préparés pour un lever matinal (5h) et une sortie définitive de Venise pour les Abruzzes en train avec amies et bagages.

De Venezia à Arsita

Ce vendredi, réveil de poules :
Tôt le matin partent les pensées
Le long d'un paysage en paix.
Arrêt sur gare aux gens sur quai;
Se levant leurs rêves s'attendent quand j'ai reçu
Œil pour œil le soleil levé
D'une lumière de conscience réveil.
Le réel reprend sa course changeant
Ses toiles de fond sans gens
Puis nous sommes partis vers la gare Venezia San Lucia vers 5h30 en faisant une course à la marche en sifflotant (nous avons même dépassé une partie des invités de la forêt privée, qui eux n'avaient pas dormi). A 6h, nous étions dans le train vers Bologna. Pendant que d'autres dorment dans le train, SylvAin veille au grain.

Villégiature terminée pour un bal à Arsita (8-9-10 août)
Retour à la tente
Fini le luxe d'un fauteuil lit

De Venise à Bologne
Retour à la Civilisation
Fini le Parc d'attraction et les glaces pyjama

De Bologne à Arsita
Les monts chantent notre arrivée en tarentelle

D'Arsita à Barcelone (Espagne)
Une traversée en bâto et les monts des ôliviers font des girons

Il y a se succédant plusieurs correspondances
Changement de sa vie de train du temps répondant.
Lors du trajet Bologna-Pescara, une multitude de plages nous entoure.

Premier train de Bologna à Ancona avec la mer à gauche
Déplacement d'espaces en direct
Du temps traversé rectiligne ;
L'espace voyage en imaginaire

Paysage transit d'Allégorie ;
Le temps s'écrit en métaphore innée
Dirigée en transfert corps récit.
L'histoire se fait entre réel temps
Et Espace; se passent les Choses entre eux ;
Entre réalité et rêve rejoints.
Le trajet raconte et gère loin
D'un début une trame en cours
Sans terminus d'un train en course.
Deuxième train d'Ancona à Pescara avec la mer à droite et la montagne à gauche et des toits bleus et orangés.
Entre monts et vignes en premier plan
Échelle entre choses accessibles en mieux.
Nouvelle station s'écrit Monselice
Pour me dire "Lis ce mont"
Et suis ton rail rapide t'éloignant
D'un pays à l'autre du lointain au lent
La Storia del topolino nero

A l'approche des monts verts, on se redresse pour paraître plus grand,
Mais dans les tunnels, on se rétrécit pour paraître une souris noire

Et on sait qu'en haut de ses montagnes, se cache cette souris noire

Des portes et des fenêtres jaunes trottent autour de cette souris qui la protège


Une fois arrivés à Pescara, nous sommes allés à la salle d'attente de la gare routière et on nous a dit que le prochain bus pour Arsita était à 18h. Donc, nous nous sommes relayés pour les bagages pas équitablement.

Durant la route en bus de Pescara à Arsita, j'ai remarqué un paysage magnifique, vertigineux et un cimetière horizontal et vertical.
Note au Benet :
Revenir un an plus tard « Revenir là où tout s'est perdu,
Retrouver du sens dans l'insensée
Poésie située entre choses d'air pur »
Sur les mêmes lieux pour faire les points entre les mots
D’un ou neuf ans: l'écriture peut se recomposer avec sens à partir d'écrits fragmentés En divers lieux mais avec le même fil ontologique.
Nous sommes arrivés à Arsita vers 20h30, ce petit village de montagnes garde ses secrets bien enfoui, entourés de monts pédestres, de grands souvenirs pour Sylvestre, bref, un espace hors du temps, un endroit où l'on peut écouter le silence. Nous avons planté la tente derrière l'école dans un petit square.

Théorème sur perméabilité temps/espace.
A considérer l'écriture comme du temps et que le temps s'écrit
L'espace voyage en imaginaire paysage.
Inclusion du temps (transit) dans l'espace:allégorie
Inclusion de l'espace (trajet) dans du temps (transfert): métaphore.
Direction espace/temps : allégorie
Direction temps/espace : métaphore
La veille du commencent du festival, nous avons fait une promenade truffé de cailloux, d'eau, d'arbres, il n'y avait même pas la cabane au fond du jardin, nous avons affronté une descente sinueuse avec des pièges, la sortie était en pente avec des damiers de pierres, d'eaux et de cailloux.

Cette marche en duo a été un défi, une quête ; deux heures plus tard, nous avons vu le Léviathan : une pente de 70%, abrupt, raide ; à quelques mètres d'altitude
Écrire l'évènement poétique en direct prend d'autant plus de sens que le réel s'écrit et l'écriture se réalise
Nous avions un panorama magnifique, digne de cette marche et nous avons dégusté un repas bien mérité : jambon, fromage et pêche. Mon retour vers la ville d'Arsita a été plus rapide que l'allée : de l'eau, des cailloux et des pierres par-ci, par-là et une non possibilité d'utiliser un pont, je suis remonté par un chemin et je me suis retrouvé sur la route et après quelques enjambés en lacets, je suis arrivé à Arsita à 16h30, pendant que Sylvestre grimpait des sommets "reposants", il est arrivé à 18h, nous avons diner d'un encas.
Gravir au déjeuner la pente raide
Des monts pour atteindre l'alentour
D'un regard de sommet vrai t'aide.
Atteindre la plénitude qui allant sous tend.
Sieste se pose là sous chêne ininterrompu
Remontant son tronc de fourmis rompues
Aux activités agricoles à l'image des laboureurs
Champs contre champs là-bas sous leur labeur;
Revoir ici ce même papillon sœur battre
Des ailes ou repartir quand le son du tracteur
S'interrompt de près en loin crissements de porcs réacteurs.
D'acteurs humains aux éléments animaux
De là haut Gran Sasso dell'Italia surplombe
L’étendue insaisissable de son point sur
La terre endormie un temps en minéraux,
L'autre réveillée en sursaut séisme
Ramenant l'humain aux drame et misère.

La tragédie ne peut être animale,
Si il y a eu catastrophe si mal
La fatalité condense l'erreur
Humaine dans l'heure
De son chaînon manquant.
Je me lève devant cette chaîne d'Abruzzes
Épaissi de nuages de pierre à la terre usée
Et m'en vais redescendre jusqu'en vallée;
Cette couleur entre cieux et terre avalée.

La tête prise dans leurs hautes cimes
Les pieds s'alourdissent comme ciment,
A refaire le chemin inverse
Sur certains décombres renversés.
Habitation des participants
Les uns dorment dans leur tente derrière l'école
Les autres devant le stade en tente « militaire »
Cause : tremblement de terre Aquila (40 km d'Arsita)


En ce jour du festival (9 août), je me suis réveillé à 7h, avec la musique des animaux : chien, mouton, coq, porc et corbeau ou plus simplement « réveil de la nature sur le sit(a) des arts.
Faire un avec le monde par l'instrument
Au p'tit matin les Abbruzes transhument
Et descendent le temps en pente douce
Entre générations la vità dolce
Continue d'accordéon en synergie
Et chants pleins d'énergie.
Fin de matinée villageoise et studieuse (traduction d'un texte à Sylvestre) puis nous avons déjeuner dans l'entrée de l'école vers 13h alors qu'il pleuvait dehors (pauvre tente).
D'aval en amont qui sans l'Un sait
En lacets s'enlaçant
Le Valfino coule son chant d'été;
Son torrent printanier a été
Effritant son lit de pierre en poussière
Gravier rappellent la Matière à celle d'hier
Qui des phénomènes naturels repoussent
Le passage du gué humain jusqu'au souper.
Le festival Valfino al Canto a commencé par une présentation de cette fête et les organisateurs (Gianfranco, Marco, Filippo).


Ils ont passé quelques vidéos : un des premiers a été une vidéo de 1997 sur un ancien Basilio d'Amico qui joue de l'accordéon/organetto et qui vit à Teramo.


J'ai relevé quelques mots que je pense intéressant : luppo, luna, poesia.
Que s'écrive le réel. Que se réalise l'écrit.
L'écriture se pose a posteriori
Se poste et ose se postérioriser.
La suite du festival a eu lieu dans une atmosphère complexe, il y a eu une procession de l'église à la Grand Place, puis SylvAin a essayé de déclamer en hauteur en italien dans un brouhaha de son, de foule...

L'ancienne faille ne s'est pas cautérisée,
S'est rouverte en récurrente blessure;
Bien sûr rien ne peut encore autoriser
La catastrophe à rester plaie sur le blé.
D'orage en pluie torrentielle le ciel lave
La terre chargée d'électrons vulcains
Pour les changer évaporés en ion chacun.
Le beau temps revient sur les traces de pluie
Dégageant un ciel azur sur la crête mâchoire,
Les cendres scories se lyophilisent en huile
Tellurique veine coulant jusqu'en été un soir.
Sang festif libérant les victimes mânes
Emportés brutalement, fantômes s'émanent
Dans un hommage in voto exutoire
Vortex mémorable rendu vivant exultant.
Vers 23h, le bal Kouzmienko « Gallina La Lupa », « Menina Sin Nombre » a débuté sur les hauteurs d'Arsita (plan incliné) accompagné de Filipo (violon) et Jérôme (accordéon) et de musiciens italiens, ce trio célèbre a fait dansé une partie d'Ar-si-ta sur des fonds de bal musette, de biguine... jusqu'à des heures hors temps, comme spectatrice et danseuse, il y a eu Alice (Venezia).

Le deuxième jour du festival, je me suis réveillé à 9h, il y a eu du chant près du bar de la place puis, j'ai erré dans le village puis à 12h, nous avons mangé sur le belvédère franco-italien, ensuite, nous sommes allés prendre un café au restaurant d'altitude, ensuite nous nous sommes reposés, puis les uns sont revenus à Arsita en voiture et trois braves à pied vers 18h et nous nous sommes préparés pour le deuxième bal qui a eu lieu sur une place au bout d'une rue, avant son commencent, Maxime et moi ont porté triomphalement une accordéoniste se nommant Julie sur une chaise haute, ensuite il devait y avoir une pièce de théâtre et malheureusement, elle a été annulé ; le bal franco-italien a commencé à 22h. Il était doux, léger puis comme d'habitude, il y a eu de grands moments avec Alice et Diana une grande partie de la nuit et jusqu'au petit matin, j'ai fait la connaissance de Valentina, une danseuse contact.


Le bal s'est terminé à 5h et je me suis réveillé vers 10h pour retrouver les amis dans un bar.

Cette matinée du troisième jour de festival a été tranquille, en chant, puis vers 14h, nous sommes partis en collectif pour un repas au restaurant d'altitude, de nombreux numéros ont eu lieu, il y a eu de la musique, du chant, des jeux extravagants. Tout ceci s'est terminé vers 17h pour un retour en voiture avec Marco et Filipo. Revenu à Arsita, j'ai décidé de plier ma tente, ranger mes affaires pour m'installer au stade, dans une tente militaire, à la place de Sylvestre, ensuite j'ai fait des petites ablutions et une sieste, vers 21h, j'étais d'attaque pour le dernier bal, la soirée a débuté au café du centre avec Gallina la Lupa, Jérôme et Filippo, dehors la fête battait son plein, vers 22h, nous nous sommes installés sur la place de l'église.


Le bal a commencé et s'est bien déroulé sauf que la place était trop grande et le son se diffusait mal, vers 0h, Kouzmienko a laissé la place à un collectif et deux heures après, le bal a recommencé jusqu'à 5h, je me suis réveillé vers 8h, je suis arrivé sur la grand place et tous les amis étaient là, en forme, et avant de partir définitivement d'Arsita avec Sylvestre, nous avons fait l'éloge d'un ami qui dormait sur un banc.
Au loin de cette mer d'huile le rayon vermillon
De soleil du matin nous envoie ses millions
D'ions una matina de Sardaigne inconnue
Étendue d'une peau d'eau comme vers ta terre reconnue.

Ton soleil m’a collé à l'horizon signé
D'esperanza départ pour l'Espagne saignée
Amour de tous quittés s'en retournent plusieurs
Sols des cieux amoureux pour ne plus tourner seul.

De ceux entier partage des Abruzzes tellurrées
Léger multiple unis que son assuré tel
Dis leur la direction des cuore réussis.

Corps entiers retransmis, Deus temps réuni
Réel espace vécu, déesse de a niente
Transmets leur d'éternelles beautés telle la tienne.
BILAN ITALIE : INTERPRÉTATION DE VILLES EN VILLES – DE VILLÉGIATURE EN BAL FESTÉ